jeudi 21 mars 2013

Et de 3!

Troisième article paru dans la presse locale en moins de 3 semaines!


Sainte-Livrade-sur-Lot et sa région

Publié le 21/03/2013


Apprentis : «Une vraie chance à saisir»




Échange réussi avec une classe de l'école locale d'agriculture «VITO»./Photo DDM. ()
Échange réussi avec une classe de l'école locale d'agriculture «VITO»./Photo DDM.


Trois apprentis agricoles du CFA de Sainte-Livrade ont eu l'opportunité de partir en Belgique flamande pour un stage professionnel de trois semaines grâce au programme européen Leonardo da Vinci. Arrivés le 23 février à Hoogstraten, ils viennent tout juste de réintégrer leur CFA. Ils reviennent avec des souvenirs plein la tête qui, ils le disent, auront un «impact déterminant» sur leur vie.
«Cette expérience de mobilité va changer à jamais ma façon d'observer le monde qui m'entoure. De réaliser qu'ailleurs les gens ne voient pas les choses de la même façon que nous Français, ouvre davantage mon esprit à la tolérance et au respect», explique Franck (20 ans).
Ce terminale en bac pro parti avec 2 autres apprentis de sa classe, Geoffrey et Vincent, a effectué son stage en élevage bovin viande.
«3 semaines, c'est à la fois long et court pour découvrir ce magnifique pays. J'ai tout de même pu me familiariser avec certaines techniques d'élevage que j'ai envie de reproduire ici», ajoute-t-il encore.
Les 3 garçons se sentent bien plus motivés maintenant pour apprendre l'anglais qu'ils étudient déjà au CFA comme en témoigne Vincent : «Je me suis vite rendu compte de l'utilité d'une langue étrangère pour communiquer au quotidien, pour échanger et mieux m'intégrer. Mes camarades et moi avons même appris des mots et des phrases en néerlandais parce que nous cherchions à parler la langue de nos maîtres de stage. Après tout, nous étions chez eux et c'était la moindre des choses».
À peine rentrés à la maison, ils parlent déjà de retourner en Flandre cet été, durant leurs vacances, pour continuer à découvrir la culture flamande et consolider les liens qu'ils ont tissés avec les professionnels sur place.
La Dépêche du Midi

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